Dj City est maintenant Dj Difé
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2023-2024
Offre de
collaboration
A cette même période apparaissent les premières radios libres auxquelles sont venues s’ajouter “Radio 7”, “Carbonne 14”, “Tropic FM”, “Canal 102”, “Radio Show”.... Ces dernières radios ont eu une influence considérable sur les jeunes ; certains commencèrent à s’équiper d’appareils radio-cassette et investirent les rues, les recoins des cités, les cours de récréation, les sorties des collèges et des lycées, et les esplanades de la capitale (Champs de Mars, Trocadéro...) qu’ils transformèrent en dancefloors improvisés. Les musiques jouées (soul, funk, discofunk, electric boogie, et gogo beat) inspiraient une flopée de jeunes “performers” qui firent preuve d’une créativité audacieuse dans l’une ou l’autre de ces deux disciplines de danse : le “street dance”, et le “jazz dance”. En solo, en duo, ou en groupe ; improvisé (freestyle) ou chorégraphié, les “performers” (garçons et filles) s’en donnaient à cœur joie , et le show captivait le public et suscitait ses encouragements.
Devant l’ampleur du phénomène, certaines mairies des villes de la proche banlieue de Paris décidèrent d’ouvrir leurs salles des fêtes aux organisateurs de soirées et au Djs, qui très vite cherchèrent à s’exprimer dans la capitale. Les soirées parisiennes commençaient souvent dans une chaleureuse effervescence, jusqu’à ce que des “ambianceurs” (premiers danseurs) répondent à l’appel (changement de style musical) d’un Dj qui lance un “warm up”.
 
Nos équipes de Djs sont alors cosmopolites ; et chacun(e) est attentif(ive), spontané(e) et chacun  fini son “set” sur des morceaux de musiques qui facilitent la transition vers le genre musical du Dj qui vient prendre le relais aux platines. Mais bien plus que de faire transpirer sur le dancefloor plus de 80 % du public d’un lieu bien remplie, les soirées Urban Soul City sont fréquentées différents publics qui apprécient de se rencontrer pour devenir complices par le dialogue de la danse sur des musiques qui inspirent et véhiculent des valeurs de vivre ensemble. C’est là toute notre contribution à la naissance du ”CLUBBING PARISIEN”.... D’un “set” de Dj à un autre on voyageait vers d’autres continent (en faisant escale dans la Caraïbes), et chacun(e) des danseurs et des danseuses pouvait s’exprimer dans un  style de danse (“street dance”, “club dance”, ou “jazz dance”) selon son humeur, selon qu’il danse seul, à deux, ou en petit groupe d’amis, selon les “sets” des Djs, et selon l’expérience que chacun(e) à de la danse.
Nos Sur les traces de leurs oncles et tantes, Guy, Marie-joe, Danièle, Raymond, tous passionnés de musiques biguine, calypso, salsa, soul, mérengué, compas..., Thierry (Dj CiTy) et Frantz originaires de la Martinique, dansent d’abord, dans les fêtes familiales, ou en famille dans les fêtes communales à Bonneuil-sur-Marne et Créteil (quartier du Mont-Mesly). Sur les platines jouaient les disques de : Exile One, les Loups Noirs, Georges Plonquite, les Aiglons....
 
Viennent ensuite (à la fin des années 70), les premières “House Party” (comprenez soirées compas, disco-funk, reggae..., dans l’appartement de l’un ou l’autre des amis du quartier) ; les tubes d’alors sont “OK Fred” (Errol Dunkley), “Map mandé courage” (Scorpio), “Le Freak” (Chic), ainsi que ceux d’artistes incontournables : Bob Marley, Tabou Combo, et bien d’autres.
Des “house party“
aux salles parisiennes
Des “house party“ aux salles parisiennes                  Dancefloor attitude                  Party overground                  Diversité culturelle